C’est très facile pour une femme de faire croire avoir subi une agression, encore faut il en produire les preuves irréfutables étayées par des témoins irréprochables. C’est tout aussi facile pour des jeunes filles en quête d’argent de tenter un traquenard sur des personnes pouvant être attirées par le charme de la chair.
Quand on suit un peu l’histoire, On se dit que c’est presque les mêmes films dans lesquels les » cibles » sont des stars : Artistes, Sportifs, politiciens etc…
Sans pudeur des jeunes femmes qui au départ sont pleinement consentantes dans une relation amoureuse décident de rompre dans l’intention de nuire à l’image de leurs partenaires, voire quelques fois de profiter de l’occasion pour récolter de l’argent. Les exemples de ce type sont malheureusement très nombreux.
La plaignante quant à elle est tombée sur le mauvais pion, car il est difficile de consevoir que Olivier Verdon puisse séquestrer voire menacer de mort quiconque.
Le club du défenseur est bien informé de l’affaire. La jeune femme en question a donné d’ailleurs plusieurs versions de l’affaire, en particulier sur un audio où elle regrette son saut par la fenêtre. D’autre part, pourquoi avoir attendu sept mois pour déposer plainte ? Et ce dans quel but ?
La violence faite aux femmes est inacceptable, nous sommes tous d’accord. Mais dans ce cas quelles réelles violences ?
Attention, le temps et les arguments probants de Olivier Verdon nous fixeront sur ces points.
Laissons la justice faire sereinement son travail.
Rappel des faits
Dans une interview devenue virale, la jeune étudiante Emma Zouggari, originaire de Yutz a déposé une plainte pour violences volontaires sur conjoint, séquestration et menace de mort contre le footballeur franco-béninois Olivier Verdon, selon une interview qu’elle a accordé à Le Républicain Lorrain. A en croire le média, les faits se seraient déroulés au domicile du joueur, du 14 au 15 novembre 2020, à Razgrad, en Bulgarie.