En marge au festival Diwali, fête majeure dans le monde indien, Donald Trump a allumé une « Diya » dans le bureau ovale en début de week-end. Le président américain sacrifiait à la tradition pour la troisième fois (débuté avec son prédécesseur Barack Obama en 2009). Le Chef d’Etat américain a salué » les personnes qui observent le Festival des lumières comme une fête bénie et heureuse. »
Appelée encore « Fête des lumières », sa célébration est marquée par : bougies, décorations, feux d’artifice et puja. Les festivités durent cinq jours, dont le troisième, le plus important («Bari Divali », « la grande Divali »), précise le moteur de recherche Wikipédia. Au-delà des Hindous, les Sikhs et les Jaïns fêtent célèbre ce festival, riche de son histoire. Le Divali est célébré au Népal (avec une population majoritairement hindoue) et dans plusieurs pays où vivent des communautés indiennes, notamment : Malaisie, Singapour, Maurice ou l’Afrique du Sud.
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« Pour de nombreux Hindous, Jaïns, Sikhs et bouddhistes aux États-Unis et dans le monde entier, cette période sacrée est une occasion de commémorer la victoire de la lumière sur les ténèbres, le bien sur, le mal et la connaissance sur l’ignorance.« , a déclaré Trump selon un communiqué, rapporté par http://Hindustantimes. Pour Donal Trump, l’observation du Diwali à travers l’Amérique doit être perçue comme un rappel important de l’importance de l’un des principes fondamentaux du pays « la liberté de religion ».
Par ailleurs, notre source, citant les médias américains, informe que cette année, la cérémonie à la Maison Blanche aurait été fermée aux journalistes et aux caméras.
