Le bureau des droits de l’homme des Nations Unies, le HCDH, a appelé à une plus grande protection des communautés du Burkina Faso contre les extrémistes violents à la suite d’une attaque meurtrière au cours du week-end qui a tué au moins 160 personnes.
« Nous soulignons également la nécessité de placer les droits de l’homme au cœur de tous les efforts pour lutter contre l’extrémisme violent », a déclaré lundi le HCDH dans un tweet. Les rapports indiquent que l’attaque a été l’une des plus meurtrières depuis des années dans ce pays d’Afrique de l’Ouest, le gouvernement déclarant trois jours de deuil en l’honneur du défunt.
Dans un message publié par son porte-parole, le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a condamné le « bilan humain inacceptable » de l’incident, notant le « besoin urgent » de redoubler de soutien aux pays luttant contre la menace croissante de l’extrémisme violent dans tout le Sahel.
